Fanzine autoédité
Photographie de selles, vomis, flaques d'urines et traces diverses de fluides humains que j'ai néttoyé. Photographies prises entre octobre 2024 et avril 2025. Imprimé à la MJC de Saint-Étienne en risographie noir et rouge, recto/verso, en juillet 2025.
Captation vidéo et projection avec son.
DNSEP TALM-Tours 2024.
Captation vidéo en neuf points de vue simultanés. Il s'agit ici de sortir du territoire défini par le cinéma et ses codes narratifs. La structure filmique se dévoile dans une mise en abyme : elle devient à la fois cadre et condition du film. Le hors-champ est révélé. Les participant·es s'inscrivent dans un processus performatif auto-génératif, où l'acte de filmer devient lui-même matière à la narration.
Installation vidéos et diffusion sur écrans avec sons
DNSEP TALM-Tours 2024.
Des lieux familiers dans lesquels des personnages apparaissent en boucle pour rejouer la meme scène. Il n’y a ni début, ni fin, pas d’entrée ou de sortie. Simulation et reproduction d’actions, de gestes et de comportements. Je propose une relecture de ces espaces connus et de ces personnages identifiables dans une mise en scène qui les confronte à des lieux vides. L’incertitude créer par l’obscurité, la pixellisation ou le flou, donne matière à une appréhension ou à un frisson et fait ressortir un sentiment de nostalgie.
Film expérimental
Filmer à Ahun (Creuse) en 2023.
En co-réalisation avec Pol, à partir d'une session d'écriture automatique.
Dispositif éditorial sur table
DNSEP TALM-Tours 2024.
Ce projet documente les halls d’entrée à travers un inventaire photographique, interrogeant leur rôle et leur esthétique. Présentée sous forme d’édition inspirée des archives, l’installation met en évidence la standardisation et l’anonymat de ces espaces. Le cadrage et la suppression visuelle des portes créent une illusion d’immersion tout en maintenant une distance d’observation. Ce travail s’inscrit dans une réflexion plus large sur l’architecture, le passage et le seuil, en écho à des recherches en urbanisme et anthropologie.
Film co-réalisé avec Maë
Bords de Loire à Tours, février 2021
Mise en évidence de la gadoue.
Installation en live et interactive
DNSEP TALM-Tours 2024.
Cette installation interactive utilise l’incrustation vidéo pour immerger le spectateur dans une image de crue du Thouet. Grâce à un décor en fond vert et un banc, elle crée une expérience où l’on passe de l’observation passive à une implication directe. Plutôt qu’une représentation dystopique, cette pièce ancre le changement climatique dans le présent, mettant en évidence ses effets visibles. Elle invite à réfléchir à notre rapport aux images environnementales, entre sensibilisation et saturation, tout en explorant l’interaction entre corps, espace et perception.
Installation moulages et impression
DNSEP TALM-Tours 2024.
Des moulages de smartphones, vidés de leur fonction, deviennent des vestiges sans être des ruines. À leurs côtés, des chiffres gravés sur le papier capturent l’érosion invisible du temps passé devant l’écran. Une cartographie silencieuse de notre attention numérique.
Installation (mapping) vidéo sur panneau de bois
2022
Des moulages de smartphones, vidés de leur fonction, deviennent des vestiges sans être des ruines. À leurs côtés, des chiffres gravés sur le papier capturent l’érosion invisible du temps passé devant l’écran. Une cartographie silencieuse de notre attention numérique.
Projection et installation sonore
DNSEP TALM-Tours 2024.
Je propose ici un corps en mouvement dans un espace clos. Entre isolement et expression, la danse devient un exutoire silencieux. À la place de la musique, des murmures : des peurs collectées, des fragments d’intimité. Apparait alors un dialogue entre l’image et le son, entre les gestes et l’écoute.
Projection et installation sonore
Je propose ici un corps en mouvement dans un espace clos. Entre isolement et expression, la danse devient un exutoire silencieux. À la place de la musique, des murmures : des peurs collectées, des fragments d’intimité. Apparait alors un dialogue entre l’image et le son, entre les gestes et l’écoute.
Projection et installation sonore
Je propose ici un corps en mouvement dans un espace clos. Entre isolement et expression, la danse devient un exutoire silencieux. À la place de la musique, des murmures : des peurs collectées, des fragments d’intimité. Apparait alors un dialogue entre l’image et le son, entre les gestes et l’écoute.
Série d'interview trés intérréssante
Je propose ici un corps en mouvement dans un espace clos. Entre isolement et expression, la danse devient un exutoire silencieux. À la place de la musique, des murmures : des peurs collectées, des fragments d’intimité. Apparait alors un dialogue entre l’image et le son, entre les gestes et l’écoute.